Manon Dohen et Amélie Rochet-Capellan, chercheuses à l’université de Grenoble au Département Parole et Cognition, Sophie Laffont et Sophie Escoffier de l’association ARIST (Association de Recherche et d’Insertion Sociale des Trisomiques 21), et pour la dernière partie de l'émission, Jean-Manuel Kupiec de l'OCIRP.


Autour du projet de recherche : " Communiquons ensemble : Co-construction de l’espace communicatif multimodal entre personnes porteuses de T21 et personnes ‘ordinaires’ »

Nous verrons comment améliorer la communication entre les personnes T21 et les autres. Car si la communication fonde l'intégration sociale et la reconnaissance de l'identité individuelle, cette dernière est parfois compliquée car beaucoup l'ignorent mais les troubles de la parole sont plus importants que le déficit intellectuel chez les personnes T 21. Mais par ailleurs, les personnes non porteuses de T21 surévaluent le handicap cognitif et adoptent des modes de communication qui aggravent les difficultés d’expression de la personne T21.


Liens :

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OCIRP