Les prestigieuses universités d’Oxford et de Cambridge veulent réformer leurs méthodes d’évaluation pour les rendre plus inclusives. Fini les examens traditionnels sous haute pression : place aux tests à livre ouvert et aux devoirs à la maison. L’objectif ? Réduire les écarts de réussite entre les étudiants issus de milieux différents. Mais cette réforme divise : pour certains, c’est une avancée nécessaire, pour d’autres, c’est une menace pour l’excellence académique.