Rathur publie son deuxième opus « Très cher journal - saison 2 ». C'est une sorte de journal intime. On retrouve son univers poétique et insolent, doux et décalé. Il ose parler de maladie, avec la chanson « Alzheimer ». Il provoque en disant qu'il aimerait que ses amis viennent se foutre de sa gueule. Il y a une chanson étonnante, « Les Flics de Chirac ». Le chanteur a la nostalgie des policiers de cette époque. J'apprécie son auto-dérision et sa grande sensibilité.