Bruno évoque une maladie sensible qui affecte la dynamique vitale, qui empêche de se projeter dans l’avenir. Il parle de ses souffrances. Des coliques néphrétiques l’ont plusieurs fois cloué au lit, par exemple. Aux douleurs physiques s’ajoutent les douleurs psychiques, celles de la dépression mais aussi des angoisses liées entre autres à l’impossibilité de coaguler, à la difficulté de s’alimenter.

A 43 ans, ce francilien parle des douleurs vives dues à la maladie et au traitement qui heureusement sont de l’histoire ancienne, il tolère mieux les nouveaux médicaments, a appris à apprivoiser la douleur, il sait ce qu’il faut faire pour éviter d’avoir plus mal encore. La dépression et les angoisses, il les combat et a désormais envie, envie de construire, d’avoir des projets dans tous les domaines.  

« Mon handicap, ma douleur », Vivre FM vous donne la parole en partenariat avec la Fondation Apicil :

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