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Le réalisateur a voulu évoquer le drame du génocide arménien sous l'angle de la fiction. 

A Berlin en 1921, Soghomon Tehlirian tue Talaat Pacha, principal responsable du génocide arménien.  Sa sincérité est telle qu'il est acquitté lors de son procès. 

Soixante ans plus tard, Aram, jeune marseillais d’origine arménienne, fait sauter à Paris la voiture de l’ambassadeur de Turquie. Un jeune cycliste qui passait là par hasard, Gilles Tessier, est gravement blessé. Gilles a perdu ses jambes dans l'attentat. Il ignorait même l'existence de l'Arménie. Anouch, la mère d’Aram, fait irruption dans sa chambre d’hôpital. Elle vient demander pardon au nom du peuple arménien et lui révèle que c'est son propre fils qui a posé la bombe. 

Ce film engagé m'a touché.