AVC
Les survivants de l'AVC
U ne personne toutes les cinq secondes est touchée par un AVC dans le monde. Un vaisseau sanguin bouché ou son éclatement, l’accident vasculaire cérébral peut survenir à tout moment. Personne n’est à l’abri. L’AVC est l’une des principales causes de mortalité en France. Huit cent mille cas recensés en France cette année, cinq cent mille personnes vivent avec un handicap dû à l’AVC. S’il n’est pas traité à temps, les conséquences de l’accident peuvent être terribles : d’une paralysie légère à un handicap lourd et permanent.
Jean-Dominique Journet est président de la Fédération nationale des aphasiques de France. A la suite d'un AVC, il perd sa capacité à communiquer oralement. Ses capacités intellectuelles, elles, sont intactes. L’aphasie est l’une des conséquences possibles d’un AVC.
Espoir
Pourtant, nombre de personnes handicapées par un AVC ont appris à vivre les sequelles. Ils se battent quotidiennement contre la perte d’autonomie. A l’image de Françoise Pariente Ichou, 50 ans et médecin. Elle fait un AVC en 2008. Aucun souvenir de l’accident. De longues séances de rééducation où elle tente de se « rappeler ». Un an après, elle se « sent propulsée vers la lumière », dit-elle.
Françoise Pariente Ichou a sorti un livre en 2008 : « Un livre d’espoir pour tous ceux qui souffrent et qui craignent la maladie. » Médecin de profession, elle n’avait pas su elle-même déceler les prémices d’un AVC. Aujourd’hui, elle publie « Je vis avec un trou dans le cerveau. » . Et elle vit.
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